Autour de moi et en grand nombre,
plein de gens qui sont loin d’être
des durs de la feuille n’arrivent
jamais à différencier
Airbourne d’AC/DC et vice
versa et même inversement
et aussi réciproquement
pendant qu’on y est.
Malgré tout (ou nonobstant
si tu préfères)
on peut toujours essayer de tenter
de faire le distinguo entre Airbourne
et AC/DC car qui ne risque rien
n’a pas moins comme disait
ma grand-mère.
Eh bien, force est de le constater
après l’écoute
très poussée de
cette œuvre d’Airbourne,
ce n’est pas aussi simple
que de distinguer un ours blanc
d’un ours noir d’autant
plus que les ours se suivent et
ne se ressemblent pas.
En effet, Airbourne sonne comme
du AC/DC alors que le facteur
sonne toujours deux fois. Et si
AC/DC n’était pas
arrivé sur le devant de
la scène en 1973, l’année
même où Gérard
Taillecèbe remportait le
Tour de Lozère, on pourrait
jusqu'à penser logiquement
qu’AC/DC fait du Airbourne.
Et comme si un AC/DC ne suffisait
pas, maintenant on en a deux.
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LA
CHRONiQUE D'UN AUtRE DiSQUE
DE 2019
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Moving
Backwards
Wheel
...
c'est tout tool
!...
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