Dans
la douce série écoutons-du-stoner-ça-dégage-les-pavillons,
voici en ce jour béni
des Dieux, Earthless qui est
un trio qui fait du... euh...
stoner. Tu le savais ? C’est
bien.
Earthless,
ce sont ici trois thèmes
qui durent des plombes. Mais,
bon pour ne pas lasser, les
gars se baladent un peu ailleurs,
notamment dans le rock prog,
le psyché aussi.
La
parade nocturne des cent démons,
c’est par moments plus
apaisé, disons, plus
sombre et ce n’est pas
pour me déplaire, perso,
sombre est mon deuxième
prénom.
Et
comme c’est long, ça
démarre cool avec des
grattes quand même bien
présentes puis ça
monte, ça s’excite,
ça s’énerve,
ça rage même et
les guitares deviennent agressives
avec plein d’effets plaisants,
particulièrement psychédéliques
et la batterie martèle
tant et plus, la basse ronronne
et ça s’agite lentement
mais sûrement.
Et
pour qui est accro aux guitares
énergiques solistes délirantes
(moi) qui se déchaînent
pas loin de la transe, cet album
totalement instrumental (il
en faut aussi) est le bon.
C’est
une réussite.
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LA
CHRONiQUE D'UN AUTRE
ALBUM DE EARTHLESS
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Black
Heaven
Earthless
...
c'est chaud
! ...
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