Pour
tout savoir !
qui
sommes-nous ?
Nazca
Né
d'un père projectionniste
et d'une mère ouvreuse au
Variété de Moulon-Les-Bouses,
Nazca (de son vrai nom : Nazca)
eut très tôt le goût
des salles obscures car là
où il y a des gênes
il y a du plaisir.
Ayant
découvert le cinoche comme
tout un chacun à travers
des navets télévisionnés
et moult blockbusters, Nazca eut
tôt fait de se détourner
du vulgaire pour aller faire un
tour du côté du ciné
socio-psychologique scandinave et
de films d'outre-Atlantique où
on n'y comprend que dalle.
Plus
tard, le cinéma asiatique
l'agréa et il ingurgita un
nombre incalculable de films venus
tout droit de l'extrême-orient,
du navet au chef-d'oeuvre. Puis,
suite à la vision en version
originale non sous-titrée
de Rashomon de Kuruzawa,
il partit au Japon pour devenir
acteur.
Malheureusement,
malgré une belle prestation
dans Les Sept Samouraïs,
ce fut un échec cuisant.
Depuis
il se console en faisant son cinéma
sur effet larsen.

Nazca
dans Les sept samouraïs,
c'est celui de gauche au fond.
Eric
Didier-Gérard
Chignole (Eric est un pseudo
qui lui a été inspiré
par le célèbre acteur
de "La tour Montparnasse infernale",
son film préféré)
fut initié très tôt
à la musique. Il devait être
entre 5 et 6 heures du matin. Et
comme il faisait encore nuit, il
prit la sage décision de
rester couché.
Sa
triste enfance passa de Mozart à
Bach et il eut tôt fait de
se révolter contre une éducation
musicale oppressante où il
se faisait chier comme un rat mort.
C'est ainsi qu'un jour il lança
un : "Mozart, c'est de la merde
!" qui provoqua l'ire de son
mélomane de père qui
lui cria : "Tu n'es plus mon
fils !". Ceci eut pour conséquence
le départ définitif
d'Eric du douillet cocon familial
alors que sa mère pleurait
des "Mon Dieu !" à
n'en plus finir, que son frère
se marrait comme un bossu et que
dehors il pleuvait comme vache qui
pisse.
Un
jour de printemps, on ne sait plus
si c'était lundi ou mercredi,
alors qu'un soleil chaleureux dardait
ses rayons amicaux sur le beau visage
d'Eric qui errait comme une âme
en peine en quête de la musique
ultime entre 8 h et 23 h 32, le
destin facétieux posa sur
lui un doigt bienveillant. C'est
ainsi qu'il fit la découverte
du rock progressif dont il devint
rapidement un des plus grands fans.
Récemment
la découverte du metal-prog
a changé radicalement sa
vie, sa vision des choses et son
ouïe par la même occasion.
En effet, il est devenu rapidement
sourd. Ceci enlevant toute crédibité
à ses chroniques musicales.

Eric
au dernier concert de metal-prog.
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