Il est toujours là le gars
Ozzy, malgré la maladie.
Soit le même qui gueulait
dans le sabbath noir il y a des
siècles.
Et,
comme plein d’autres avant
lui il se fait accompagner par
quelques gratteurs de folie comme
Beck (de chez Beck), McCready
(de Pearl Jam), Zack Wilde (qui
taquine souvent des solos à
ses côtés), Toni
Iommi (ancien compagnon du groupe
bidonnant de ses débuts)
et Clapton de chez... Clapton.
Et c’est sûr qu’avec
de tels gratteurs on a droit à
des chiées de solos délirants,
un son d’enfer bien sûr
et l’intervention de Beck
m’a paru la plus intéressante.
Bref, voici un bon heavy metal
un peu téléphoné,
certes, avec la voix, disons,
rigolote du père Ozzy,
peu varié aussi mais mélodieux
(hé oui) et plutôt
efficace.
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LA
CHRONiQUE D'UN AUTRE
ALBUM DE 2022
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Ride
Walter Trout
...
c'est du blues-rock
!...
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