Slash
(featuring Myles Kennedy and
The Conspirators dont on ne
sait pas vraiment ce qu’ils
conspirent) est un guitariste
qui a fait partie jadis d’un
des groupes les plus grotesques
de l'histoire du hard-rock
où officiait un des
pires hurleurs du siècle
à faire presque passer
un braillard de metal extrême
pour Philippe Jaroussky.
Et là avec ce "4",
Slash, gars surtout connu
pour son look fendard, en
est à son quatrième
truc de...
- Hard-rock ?
- Ouais, t’as raison
!
Et le gars n’a pas évolué.
Tu me diras que le hard-rock
n’évolue pas,
certes, mais Slash aurait
pu y mettre quelque chose
de moins réchauffé,
d'un peu plus excitant et
ses solos de guitare y sont
d’une désolante
platitude.
En malus, aux vocaux on a
droit (si l’on peut
dire) à un certain
Myles Kennedy à peine
meilleur que l’ancien
hurleur de l’ancien
groupe de Slash dont le nom
était Spinal Tap si
je me souviens bien mais tu
peux aller vérifier
si tu as des doutes.
Bref, voilà un quatrième
album tout dans le convenu,
sans
idées, avec de l’énergie
pour que dalle. Je n’attends
pas le "5" avec
impatience.
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LA
CHRONiQUE D'UN AUTRE
ALBUM DES ARCHiVES
D'EFFET LARSEN
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Lips
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d'Hendrix
!...
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